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Lauréats 2019

Robin Vitus et Stanislas Geiger de l’ENSA de Lyon

– Comment l’architecte peut-il redevenir un métier de service (Éthique professionnelle) ?

– Comment pouvons-nous impliquer l’habitant dans la fabrique de sa maison / de sa rue / de sa ville ?

– Comment conscientiser le recours à la matière, indispensable à l’acte de construire ? (Éthique environnementale).

Pour concrétiser leurs propres ambitions de futurs praticiens en architecture et donner l’occasion à d’autres (étudiants ou habitants) de « faire » avec eux, Robin Vitus et son équipe se proposent de créer tout d’abord un outil commun : UNE BRICOTHÈQUE MOBILE

Roxanne Berry de l’ENSA de Lyon

Roxanne Berry est étudiante à l’école d’architecture de Lyon, et l’heureuse lauréate d’une des deux bourses 2019 de la FEM, pour laquelle elle a postulé avec Alice Chatelard, également étudiante en architecture. Elles sont toutes les deux engagées dans des actions humanitaires et pour le bien de l’environnement. Aussi, avec un groupe d’étudiants de l’école, elles se sont engagées dans l’association AAA (Architecture Aide Aventure) qui oeuvre en partenariat avec l’association APA (Afrique Plein d’Avenir). En particulier, elles se sont investies dans la construction en dure d’une école à Kpomassé au Benin pour laquelle elles devaient récolter les fonds nécessaires. Roxanne se rendra sur place en juin afin d’assister le chantier. 

La bourse a permis de financer le billet d’avion ainsi que les vaccins nécessaires à ce voyage.

Margaux Fouquet de l’ENSP de Versailles

Edition d’un livre objet sous forme de carnet chinois, dessiné lors d’une voyage à pied de la Slovénie à la France.

« Actuellement en Master 1, DEP2 à l’ENSP de Versailles, je passe un semestre, affiliée à la faculté biotechnique de Ljubljana en Slovénie afin d’y effectuer un Erasmus. Je me suis rendue compte que je voulais sentir le poids du voyage dans mes jambes ainsi que de savoir physiquement l’effort réalisé pour traverser un espace. J’ai alors pensé à organiser à la fin de mon Erasmus, un retour à pied depuis la Slovénie, jusqu’en France. Dans le même temps, mes réflexions quant à mon mémoire se précisant pour l’année prochaine , j’entrevois donc finalement de fusionner ces deux idées, afin que l’une nourrisse l’autre. J’aimerai questionner dans mon mémoire, la notion d’imaginaire dans le paysage et le rôle qu’il pourrait jouer dans l’identification de chacun à son environnement. Ce voyage à pied, d’une longue durée, pourrait donc me permettre une immersion afin de me confronter au travail d’invocation de l’imagination lors d’un périple comme celui-ci. L’idée est de faire de ce voyage une véritable aventure, s’animant au fur et à mesure autour de moi comme un réçit surnaturel/ imaginaire/ spirituel.
Ce projet serait alimenté chaque jour par un travail de texte et d’illustration constituant un ensemble relié sous la forme d’un livret. Ce travail fournira donc l’aventure sur laquelle m’appuyer pour l’écriture de mon mémoire durant cette prochaine rentrée 2019-2020. Ainsi, j’aimerai développer par ce périple une manière d’aborder le paysage par une approche première, celle de la forme et des sensations qu’il nous renvoie. La fiction me semble être par la suite un atout pour développer un projet et surtout pour le communiquer aux plus jeunes. Et au mieux, les faire participer. C’est dans la peau d’un enfant que j’aimerais me placer pour ce périple, comme une découverte de chaque chose amenant à un questionnement. « 

Noémie Lages de l’ENSP de Versailles

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